On y passe la majorité de notre temps, et pourtant on ne l’aime pas forcément. Le travail est souvent vu comme une source de stress et de frustration. Néanmoins, il peut être la raison de notre épanouissement. Plusieurs coachs et spécialistes en Ressources Humaines comme Laïla Dibaji affirment qu’il n’est jamais trop tard pour être heureux dans son job.
- Il faut d’abord déterminer nos besoins : On veut que l’utilité de notre travail soit reconnue, on veut être indépendants, créatifs ou encore on cherche à travailler dans l’urgence.
- On recense les « j’aime » et « je n’aime pas » de notre emploi.
- Il faut aussi accepter qu’on ne peut pas tout avoir à savoir le temps libre, la sécurité de l’emploi, le pouvoir…
- On évite la passivité car c’est ce qui nous attire les ondes négatives.
- Quelque soit la tâche qu’on nous confie, on peut la faire avec créativité et imagination s’il le faut pour sortir de l’ennui.
- On essaie de retrouver de l’intérêt à ce que l’on fait.
- On tente aussi de démontrer nos compétences à la hiérarchie via de nouveaux challenges.
- Ce ne sont pas toujours les autres les meilleurs. On met tous les atouts humains et techniques de notre côté. On peut alors être gentil, confiant, innovant, compétitif, bien informé sur le domaine de son travail.
- On doit aussi savoir qu’il ne faut pas aimer son travail pour être heureux et savoir dissocier les deux.
Et si rien ne marche ?
- Si rien ne nous rend heureux dans le job actuel, il faut poser la question si notre métier est en accord avec nos convictions.
- Est-ce que votre travail est pour vous uniquement alimentaire : Aimez-vous votre travail ou votre emploi ?
- Etes-vous content le lundi matin ?
- Vous sentez-vous utile dans votre entreprise où vous vous sentez plutôt en pilote automatique
- Si vos réponses sont négatives sachez que la vie professionnelle est un éternel recommencement.
- Certes, il faut du courage pour quitter une position qui ne nous convient mais on y gagne un grand sentiment de liberté et une restructuration narcissique.