« La machine à rêver »de Niki de Saint Phalle embellie le parvis du musée Mohammed VI

« La machine à rêver »de Niki de Saint Phalle embellie le parvis du musée Mohammed VI

Exposée en plein air, sur l’esplanade du Musée Mohammed VI d’Art Moderne et Contemporain, la sculpture « La machine à rêver » de l’artiste franco-américaine Niki de Saint Phalle ,aux formes généreuses et couleurs vives vient enrichir le parvis du musée déjà marqué par la présence d’autres sculptures ,le Guerrier massaï d’Ousmane Sow, le Cheval de Fernando Botero, ainsi que celles d’Ikram Kabbaj et de Farid Belkahia.

Transportée de Paris à Rabat, ville lumière capitale de la culture, la célèbre et magnifique sculpture «La machine à rêver» appartient au collectionneur Michael Benabou, grand amoureux du Maroc, qui a généreusement prêté la sculpture de Niki de Saint Phalle en admiration à« tout ce que le Maroc a fait sous le règne de SM le Roi Mohammed VI pour la culture ».Pendant deux ans ,l’exposition va offrir, à tous les promeneurs la chance d’admirer « La machine à rêver ».

Quelques mots sur Niki et son œuvre

« La machine à rêver », a été réalisée en 1970 ,symbolisant les rêves, les espoirs et les ambitions des femmes. Une thématique primordiale dans l’œuvre de l’artiste Niki, exprimée notamment à travers cette sculpture qui traduit sa vision féministe engagée et émancipatrice. « Niki de Saint Phalle, amazone qui a su assumer la violente révolte de toute une époque à travers la sienne propre et dont l’œuvre immense est prête à affronter les siècles à venir », disait Pierre Restany, historien et critique d’art français.

Pour les organisateurs, cette  sculpture  ainsi que les autres œuvres exposées « C’est une opportunité inouïe de s’ouvrir sur la société et d’attirer les gens vers le monde de l’art et de créer une relation dialectique entre la société et le musée ».

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