LewisPugh nagera pour sensibiliser à la protection des fleuves, rivières et océans

LewisPugh nagera pour sensibiliser à la protection des fleuves, rivières et océans

C’est un défi inédit que Lewis Pugh a décidé de relever,dimanche 13 août, il nagera  plus de 500 km en eaux vives depuis la source de l’Hudson dans les Adirondacks (Etats-Unis) pour rejoindre l’embouchure du fleuve à New York pour sensibiliser à la protection des fleuves, rivières et océans.

Lewis Pugh, 53 ans, est un ancien avocat maritime, qui consacre désormais sa vie à la défense de l’environnement,s’est lancé ce nouveau défi pour d’attirer l’attention sur l’importance cruciale d’écosystèmes fluviaux sains pour les océans et l’environnement dans son ensemble.Depuis 10 ans, ce nageur émérite est « parrain des océans » du Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE).
Il lui faudra environ un mois pour atteindre New York, siège des Nations Unies, où le 20 septembre commencera la ratification du traité sur la haute mer, qui vise à protéger la biodiversité dans les eaux internationales.

Le seul nageur à nager dans tous les océans du monde

Nageur d’endurance accompli, ce Britannique a bravé certains des environnements les plus difficiles de la planète, notamment l’Antarctique, le pôle Nord, la mer Rouge et l’Himalaya. Il est le premier à avoir nagé sur une longue distance dans tous les océans du monde.
Lewis Pugh nagera sans assistance, c’est-à-dire qu’il ne portera qu’un maillot de bain, un bonnet et des lunettes.  Lewis Pugh a donc décidé lorsqu’il devra contourner des rapides impraticables, de marcher ou de courir. Il prévoit de nager en moyenne 16 km par jour, en fonction des conditions.Il portera le logo du PNUE. 

@LewisPugh

En octobre 2022, Lewis a nagé d’Arabie saoudite à Hurghada, en Égypte. En cours de route, il a passé Charm el-Cheikh, où les dirigeants mondiaux se réuniraient pour la Cop27 en novembre.La baignade de 123 km a duré 16 jours. Lewis a exhorté toutes les nations à réduire considérablement leurs émissions, à s’attaquer à la crise climatique et à protéger les océans du monde. Il a également appelé à la protection de 30 % des océans du monde d’ici 2030.

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