TRON : ARES – le retour dans un univers légendaire

Réalisé par Joachim Ronning, TRON : ARES signe le grand retour de l’univers culte de Disney initié en 1982. Ce nouvel opus, porté par Jared Leto, Greta Lee et Jeff Bridges, explore avec intensité la frontière entre monde numérique et monde réel, dans une épopée futuriste où la technologie affronte l’humanité.

Plongeant le spectateur dans une aventure inédite, TRON : ARES introduit une nouvelle histoire indépendante au sein de l’univers de TRON.
Arès, un programme d’intelligence artificielle envoyé dans le monde réel, découvre peu à peu ce que signifie être humain grâce à sa rencontre avec Eve Kim, présidente visionnaire d’ENCOM. Ensemble, ils questionnent la place de la technologie dans nos vies et la capacité de l’homme à garder le contrôle sur ses créations.
Ce récit, à la fois poétique et philosophique, interroge les notions d’identité, d’évolution et de responsabilité.

Une mise en scène spectaculaire et intimiste

Le réalisateur norvégien Joachim Ronning, à qui l’on doit Pirates des Caraïbes : La vengeance de Salazar et Maléfique : Le Pouvoir du Mal, livre ici une œuvre visuellement saisissante.
Tourné en IMAX 8K, TRON : ARES combine des décors physiques monumentaux à des effets visuels signés Industrial Light & Magic, pour une immersion totale au cœur d’un univers numérique tangible.

Un casting d’exception
Dans le rôle d’Arès, Jared Leto livre une interprétation habitée d’un être en quête d’humanité. Greta Lee, impressionnante en Eve Kim, incarne une femme forte, guidée par la raison et l’intuition.
Le film réunit également Evan Peters, Jodie Turner-Smith, Gillian Anderson et Jeff Bridges, figure emblématique de TRON, qui retrouve ici son rôle mythique de Kevin Flynn.

Une œuvre visuelle et philosophique
Plus qu’un film de science-fiction, TRON : ARES explore la nature même de la conscience et de la liberté. Il interroge notre rapport à la technologie, à la création et à la transmission du savoir.
Sous sa dimension spectaculaire, il s’impose comme une réflexion sur la condition humaine à l’ère de l’intelligence artificielle.

 

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