Expo : Les pionnières, l’hommage aux sportives marocaines

Expo : Les pionnières, l’hommage aux sportives marocaines

Après Safi, l’exposition “Les pionnières” de François Beaurain s’installe à Rabat à partir du 3 juillet avant de poursuivre sa tournée dès l’automne à Marrakech, Fès et Meknès.

 

“Les pionnières” est un projet photo réalisé en 2017 et 2018 au Maroc par le plasticien et photographe François Beaurain. Il est composé de portraits et de témoignages de 13 femmes qui ont un rôle pionnier dans un sport ou une activité artistique. Leurs témoignages permettent de se rendre compte des difficultés rencontrées. Cette exposition diffusée en extérieur et en galerie montre la diversité des profils et le modèle positif que ces femmes jouent dans la société marocaine.

Ces pionnières sont des Trapéziste, joueuse de football américain ou de rugby, boxeuse, skateuse, etc. en tout, ce sont 13 femmes  qui sont les premières à pratiquer une activité dans leur domaine. Parmi elle, on découvre Bouchra, 18 ans, étudiante en seconde année à l’Ecole Nationale de Cirque de Shems’y, Fatima Zahra, 25 ans, chorégraphe et joueuse de batucada, Sabrina, 23 ans, étudiante, fondatrice et coach des Black Mambas, la première équipe féminine de football américain au Maroc, Hasna, 30 ans, 3 fois championne d’Europe et 2 fois vice-championne du monde de Capoeira, Hind, 39 ans, championne du Maroc de course automobile, Meriem, 26 ans, championne du monde de boxe Thaï, Wafaa, 24 ans, réceptionniste, skateuse, Ibtissama, 35 ans, championne et première femme monitrice de surf au Maroc, Amal, 23 ans, étudiante, quaterback, Mouna 22 ans, étudiante en école d’ingénieur, Bgirl depuis 2010, Maryam, 24 ans, informaticienne, joueuse internationale et capitaine de l’équipe de rugby…  Chacune de ces femmes pionnières est un exemple de bravoure et d’audace. Grâce  à leur persévérance et esprit d’initiative, elles ont su briser les tabous et battre en brèche les stéréotypes. Des exemples magnifiques à découvrir, à travers leurs témoignages et portraits à l’Institut français de Rabat, à partir du 3 juillet.

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